SYNDICAT CFDT OUEST PROVENCE MAIRIE D'ISTRES Secrétaire Mairie Istres Brigitte JACQUEL
jeudi 29 décembre 2011
vendredi 21 octobre 2011
Les territoriaux, les fonctionnaires les plus heureux
L’enquête « Climat social 2011 » de l’observatoire de Cegos, rendue publique le 20 octobre 2011, dessine une territoriale moins insatisfaite de son sort que les autres versants de la fonction publique et que les salariés du secteur privé.Un chiffre qui en dit long : 77 % des agents territoriaux interrogés par l’observatoire de Cegos (1), dans le cadre de sa traditionnelle enquête sur le climat social qui, pour la première fois, se penchait aussi sur le secteur privé, affirment que leurs « activités sont variées et intéressantes ». Sur l’ensemble des fonctionnaires, ce pourcentage s’établit à 66 % et tombe à 57 % pour les salariés du privé. Une explication à une plus forte motivation revendiquée par ces mêmes agents : 63 % des salariés du public se disent « motivés par (leur) travail actuel » contre 53 % pour ceux du privé.
L’impact de la conjoncture - Cette différence d’appréciation entre les deux secteurs se retrouve également dans celle de l’impact de la conjoncture sur le climat de l’administration ou de l’entreprise. 58 % des sondés, relevant de la fonction publique, estiment que ce climat s’est dégradé. Ils sont 39 % à le penser dans le privé. Parmi les premiers, ce sont les agents de l’Etat qui apparaissent les plus pessimistes : 67 % d’entre eux soulignent cette dégradation, comme 62 % des fonctionnaires hospitaliers et 53 % des territoriaux.
Toujours un peu plus optimistes que leurs homologues de l’Etat et de l’hôpital, les agents de la FPT sont 64 % à penser que « les réformes de l’Etat ont eu un impact sur la qualité du service rendu aux usagers ». Ils sont 74 % dans la FPH et 84 % dans la FPE.
Intéressement – Autre enseignement de cette étude de Cegos : 57 % des fonctionnaires se révèlent favorables aux mesures d’intéressement collectif alors que les primes individuelles liées au mérite ne recueillent que 52 % des suffrages.
mercredi 5 octobre 2011
Pétition de la Mutualité
La CFDT s’est exprimée au côté de la Mutualité pour dénoncer la taxation de 7% des contrats responsables qui va avoir des conséquences sur :
L’augmentation des cotisations des mutuelles dans un contexte déjà difficile pour le pouvoir d’achat,
Une baisse de la protection ou des difficultés sur les négociations salariales car les entreprises vont inclure les augmentations des mutuelles dans l’évolution de la masse salariale;
L’accès aux soins pour les plus fragiles.
François CHEREQUE a cosigné une tribune dans Le Monde, du 1er septembre 2011, sur ce sujet avec Etienne CANIARD, président de la FNMF.
Malgré toutes les expressions, le Gouvernement poursuit son bras de fer contre la Mutualité.
Véronique DESCACQ, secrétaire nationale a signé cette pétition au nom de la CFDT.
La CFDT appelle tous ses adhérents à signer cette pétition dont vous trouverez le texte ci-joint et le lien ci-dessous.
Pour signer : http://www.mutualite.fr/petition
vendredi 30 septembre 2011
DEMANDE DE SOUTIEN
Les militants CFDT et les salariés de LyondellBasell Industrie sont en grève après l’annonce de la fermeture de l’usine de Berre.
La Direction ne propose aucune solution pour les 380 salariés de la partie raffinerie malgré les marges dégagées notamment par l’usine LBI de Fos qui fabrique des produits à haute valeur ajoutée.
Les salariés ont décidé de bloquer l’accès de LBI de Fos pour empêcher la livraison de potasse nécessaire à la production. Interrompre la fabrication des produits de Fos permettra de poursuivre la pression sur la direction pour l’obliger à négocier et partager les richesses entre les usines.
Donc merci de faire tourner ce message à vos contacts pour maintenir une présence les journées de ce WE la majorité des salariés faisant le blocage de nuit
Si vous avez un moment pour aller les soutenir toute aide CFDT sera la bienvenue.
Il faut se rendre sur le site de
LyondellBasell
Route du Quai Minéralier
Z.I.P. DE FOS / CABAN
13270 FOS-SUR-MER
Contact :
Jean Pierre BOURRELLY
06 19 94 26 40
JeanPierre.Bourrelly@lyondellbasell.com
lundi 26 septembre 2011
vendredi 23 septembre 2011
le 27 septembre à 14h30 place de Castellane – Marseille
pour arrêter les suppressions de poste qui condamnent l’école à terme.
Depuis 4 ans, le Ministère de l’Education nationale a supprimé plus de 52 000 postes.
Le dogme du non remplacement d'un fonctionnaire sur deux met l'Ecole publique à
genoux, ne lui permettant plus d'assurer ses missions de Service public. Ce dogme ne
permet plus aux personnels d'exercer leur métier avec sérénité et professionnalisme.
Les personnels de l’Education, les parents et les jeunes se sont mobilisés régulièrement au
cours de cette année pour dénoncer les 16 000 nouvelles suppressions de postes effectives
à la prochaine rentrée scolaire alors même que plus de 60 000 élèves supplémentaires sont
attendus.
Ces suppressions associées au manque d'ambition éducative dégradent encore plus les
conditions d’apprentissage des élèves et de travail des personnels.
Dans ce contexte, la campagne publicitaire sur les recrutements lancée par le Ministre de
l'Education nationale sonne comme une provocation d’autant que la préparation du
prochain budget prévoit de nouvelles suppressions d’emplois et n’affiche d’autre objectif
pour le système éducatif que la recherche d’économies.
Si le gouvernement cherche à tromper l’opinion en affirmant sans cesse, comme si cela
pouvait convaincre, que l’on peut faire « plus avec moins », la France reste un des pays
qui investit le moins dans son éducation et donc dans l’avenir.
En plus de la question fondamentale des postes, la politique éducative, l'avalanche de
mesures inadaptées, incohérentes et précipitées maintiennent un système éducatif
inégalitaire qui ne permet pas de lutter réellement contre l’échec scolaire.
La nécessité d’une toute autre politique éducative passe aussi par un budget plus
volontaire. Pour cela, les organisations FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA Education
appellent les personnels de l’Education nationale et de l'enseignement agricole publique à
se mettre en grève le 27 septembre prochain. Elles exigent l'arrêt des suppressions
d'emplois, une autre logique pour le prochain budget et une transformation démocratique
du système éducatif afin d’assurer la réussite de tous les élèves.
Aujourd’hui plus que jamais, notre pays a besoin d’un système éducatif qui s’attaque
réellement aux inégalités scolaires et traite la situation des élèves en grande difficulté.
D’autres choix pour la réussite de tous les jeunes sont nécessaires afin que l’École
remplisse les objectifs d’une École démocratique, ambitieuse et émancipatrice.
jeudi 22 septembre 2011
Après 4 années de RGPP, l’heure du 1er bilan
Le rapport, remis fin juin 2011, par la mission d’information sur les conséquences de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) pour les collectivités locales, peut faire office de premier bilan, après 4 années de mise en oeuvre. Sans condamner une politique qu’elle estime nécessaire pour poursuivre la réforme de l’Etat, la mission appelle, dans son rapport, à en « corriger les effets indésirables » en prenant mieux en compte « le besoin de proximité ».
Quant à la question de savoir si la RGPP génère bien les économies annoncées, le chiffrage reste encore sujet à caution. Le gouvernement avait en effet annoncé 10 milliards d’euros d’économies budgétaires pour 2013, après 7 milliards réalisés entre 2009 et 2011. Pourtant, dès 2010, la Cour des comptes avait noté dans son rapport annuel une « traçabilité des décisions mises en œuvre, notamment de leurs effets budgétaires, insuffisante ».
Enfin, au terme de 4 années de mise en pratique, on est aussi en droit de s’interroger sur les effets concrets de cette politique sur les collectivités. Notre dossier retrace l’essentiel des auditions menées par la mission d’information sénatoriale courant 2011 et constitue pour s’en faire une idée, une mine précieuse.
Détracteurs - Sur les bancs des détracteurs, Jean-Paul Delevoye. L’ancien Médiateur de la République estime simplement que « la nécessité de maîtrise des finances publiques a fait perdre la notion du collectif au profit de notions comptables ».
Plus nuancé, Pierre Morel-A-L’Huissier, député-maire (UMP) et rapporteur de la commission Communes et territoires ruraux de l’Association des maires de France (AMF) plaide pour une meilleure prise en compte des spécificités territoriales rurales, qu’il s’agisse de l’accès à la santé et aux écoles pour les citoyens, de l’aide à l’ingénierie publique ou de la présence d’administrations de proximité de l’Etat pour les élus des petites communes.
Jacques Pélissard, président de l’AMF, et Daniel Canepa, président de l’Association du corps préfectoral identifient un besoin de « matière grise » dans les services territorialisés de l’Etat tandis que les représentants des petites villes avouent vivre difficilement l’éloignement de l’expertise de l’Etat.
Alain Rousset, président de l’ARF, évoque carrément une « tondeuse à gazon, qui rase de façon uniforme et indifférenciée tous les services de l’Etat ».
Les ingénieurs territoriaux, représentés par l’AITF, quant à eux, doutent de la capacité des conseils généraux à pallier le retrait de l’Etat.
Défenseurs - Mais la RGPP a aussi ses défenseurs : un haut fonctionnaire, un ancien élu local héraut de l’intercommunalité et l’actuel ministre de l’Aménagement du territoire ont défendu devant la mission et à des degrés divers, l’intérêt de la RGPP malgré ses conséquences dans les territoires.
Les directeurs de la gendarmerie et de la police nationales font part, à l’égard de cette politique, d’une certaine bienveillance, à moins qu’ils ne souffrent en silence. Ils disent assumer l’effort à fournir en matière d’effectifs, ne réclamant que quelques aménagements sur les moyens. La maréchaussée a pourtant payé un lourd tribu à l’effort : 3 509 emplois temps plein (ETP) sur la période 2009-2011.
Enfin, sans surprise, Claude Guéant, ministre de l’intérieur, défend d’emblée les principes de la RGPP et tente de justifier le malaise :« Les élus sont souvent troublés, gênés, par la réorganisation d’un service public. Mais c’est souvent la condition de sa pérennité voire de son amélioration ». Le ministre de l’Intérieur se veut pourtant rassurant sur le devenir des sous-préfectures, qui « doivent être maintenues, sauf exception, si l’on trouve un consensus local pour estimer que cela n’est pas utile ».
samedi 10 septembre 2011
La fonction publique territoriale tend vers plus d’individualisation dans la gestion des carrières
Ainsi, 42 % des collectivités interrogées ont mis en place une prime individuelle liée aux résultats, soit 13 % de plus qu’en 2010.
Elles sont aussi 64 % à avoir instauré un dispositif d’évaluation (contre 61 % en 2010). Un phénomène qui concerne surtout les plus grosses collectivités bien sûr : les communes de plus de 50 000 habitants sont deux fois plus nombreuses que celles de moins de 5 000 à avoir mis en place un tel dispositif.
Et le nombre de collectivités qui ne souhaitent pas opter pour un tel choix est passé de 10 % en 2010 à 5 % en 2011.
Intérim - Interrogés sur le recrutement lui-même, les professionnels des ressources humaines s’expriment aussi sur l’intérim – sujet sur lequel Randstad est particulièrement attentif puisqu’il peut depuis 2009, avec les autres entreprises privées du secteur, aider les collectivités dans ce domaine.
A l’heure où le Parlement va bientôt examiner un projet de loi qui vise à diminuer les situations de précarité dans la fonction publique, 25 % pensent « certainement » ou « probablement » recourir à ce mode de recrutement.
Plus globalement, les RH citent par ailleurs comme freins rencontrés dans leur activité de recrutement le manque de candidatures reçues pour certains postes (28 %), la faiblesse des rémunérations proposées par le service public (22 %) et les restrictions budgétaires (20 %).
Et pour attirer les candidats, ils mettent surtout en avant l’intérêt des métiers, le niveau des responsabilités et la vocation du service public (à l’inverse, en queue de peloton, arrivent l’importance du statut, la sécurité de l’emploi et… la rémunération).
30 % estiment que leurs effectifs vont augmenter en 2012 –Alors que l’édition 2010 de cette étude faisait état d’une prévision destabilisation des effectifs et malgré le contexte économique, les collectivités sont enfin 30 % à estimer que leurs effectifs vont augmenter en 2012.
Il faut dire qu’il faut remplacer les nombreux départs en retraite, comme le souligne le sondage. Autre explication selon Randstad : les besoins spécifiques en informatique et en finances notamment.
L’étude a été réalisée auprès de 244 professionnels des RH.
mardi 6 septembre 2011
De : Jacquel Jacquel
À : guy estrade guy estrade
Cc :le bureau interco
Envoyé le : Mardi 19 Juillet 2011 13h53
Objet : Tr : commande guides et agendas 2012
samedi 3 septembre 2011
Réunion de l’intersyndicale du 1er septembre 2011
L’intersyndicale du 18 août s’était conclue avec la décision d’une nouvelle réunion qui se tiendrait après que le gouvernement ait annoncé ses mesures pour réduire le déficit. De fait, c’est le 1er septembre au siège de la CGT que s’est tenue cette réunion qui a duré près de 5 heures et a porté sur le listage des priorités et sur les modalités d’une journée d’action prévue pour le 11 octobre.
Le déroulement de la réunion :
La CGT, qui depuis le mois de juin, a fixé dans son agenda une journée nationale interprofessionnelle pour la rentrée, reste sur l’objectif de la mobilisation par principe. Pour autant, elle reconnait qu’il y aura des difficultés pour construire la mobilisation.
La CFDT a été déterminante sur l’écriture du texte en ce qui concerne l’analyse de la situation et le listage des objectifs. Elle considère que dans la période, c’est vital pour que le syndicalisme assume ses responsabilités et soit visible par les salariés et par les décideurs.
Tout au long de la réunion, l’UNSA a été sur la position de la CFDT et comme la CFDT, n’est pas sur des appels à la grève.
La FSU a, elle aussi, insisté pour prendre le temps de la discussion en interne et avec les salariés pour décider des formes d’action.
Le débat a été très vif et non tranché sur les formes d’action de la journée du 11 octobre.
FO, CFTC et CGC étaient absentes.
Le communiqué :
Précise les priorités avec une liste très réduite d’objectifs en phase avec la situation économique et sociale et conforme à ce que la CFDT considère comme prioritaire.
Sur les modalités d’action, le communiqué ne tranche pas. En finalité, l’intersyndicale a décidé une réunion le 15 septembre qui devrait formaliser les modalités de la journée du 11 octobre. C’est une décision qui correspond à notre vision d’une stratégie d’action.
La CGT souhaitait la tenue d’assemblées générales pour décider avec les salariés de modalités d’action, celles-ci recouvrant grève et manifestations. Dans un deuxième temps, ne parvenant pas à imposer cette vision, la CGT a proposé que les modalités d’action soient définies au cas par cas sur le terrain.
La CFDT a affirmé que les modalités d’action doivent tenir compte du contexte et des attentes des salariés. A ce jour, nous ne croyons ni possible, ni souhaitable l’organisation de grèves. L’organisation de manifestations significatives en lien avec des objectifs et un cadre interprofessionnels ne va pas de soi.
La démarche de la CFDT dans les territoires, les branches, les entreprises :
Le bureau national du 13 au 15 septembre, arrêtera la position que la CFDT défendra à l’intersyndicale du 15 septembre sur les modalités d’action.
D’ici l’intersyndicale, il n’y a aucune raison de formaliser en intersyndicale des modalités d’action pour le 11 octobre. Il est probable que la CGT notamment précipitera l’organisation de la mobilisation du 11 octobre sur ses propres bases.
Partout, la CFDT doit veiller à tenir les mots d’ordre dans le strict cadre défini dans le communiqué du 1er septembre et renvoyer les modalités d’action aux conclusions de l’intersyndicale du 15 septembre.
En interne, il convient d’organiser les discussions et les rencontres de la CFDT avec les salariés afin d’avoir la meilleure perception possible du climat et des attentes et points de vue des salariés.
Communiqué CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires
Le gouvernement a annoncé le 24 août des mesures censées réduire « le déficit de la France ». Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires en dénoncent le caractère injuste et inéquitable. La facture est principalement supportée par les salariés et les consommateurs. Le gouvernement ne remet pas en cause les niches fiscales dont on sait qu’elles n’ont aucune efficacité économique et sociale. La contribution des plus hauts revenus reste symbolique et n’est pas de nature à réduire les inégalités.
Pour relancer la croissance, en respectant les impératifs de développement durable, réduire les inégalités et maîtriser les déficits, une politique visant une autre répartition des richesses et favorisant le développement économique et social est incontournable.
Cela suppose des réformes structurelles importantes comme une réforme globale de la fiscalité intégrant une plus grande progressivité, une politique industrielle coordonnée au niveau européen, des services publics de qualité.
Cela appelle aussi des mesures urgentes :
Abandonner la taxation des complémentaires santé ; supprimer les exonérations et la défiscalisation des heures supplémentaires ; conditionner toute aide publique à son efficacité sociale et économique, aux politiques sociales dans les entreprises.
Mettre en œuvre la taxe sur les transactions financières.
Faire de l’emploi, en particulier celui des jeunes, une priorité. Stopper les suppressions d’emplois dans la Fonction publique.
Soutenir le pouvoir d’achat notamment des plus bas revenus et réouvrir les négociations salariales dans les entreprises et la Fonction publique pour réduire les inégalités notamment entre les femmes et les hommes.
Les organisations syndicales estiment indispensable l’intervention des salariés pour peser sur le gouvernement, le patronat, les débats parlementaires en cours et à venir.
Elles décident d’une journée nationale d’action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011. Partout, le débat sur le contexte, les enjeux et les modalités (manifestations, rassemblements, arrêts de travail, etc.) est nécessaire pour construire cette journée. Les organisations se retrouveront le 15 septembre 2011.
Montreuil, le 1er septembre 2011
vendredi 26 août 2011
mardi 23 août 2011
Croissance et dette
La CFDT a fait part de ses propositions
au Premier ministre
François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, s’est entretenu aujourd’hui par téléphone avec le Premier ministre au sujet de la réduction de la dette de notre pays.
Le secrétaire général de la CFDT a insisté sur plusieurs points, dont la nécessité de mettre en œuvre des mesures de soutien social aux salariés et entreprises, comme la CFDT l’avait obtenu au début de la crise en 2009 (Fonds d’investissement social), afin d’éviter un blocage de l’économie.
La création de ce fond permettrait un soutien en direction de l’emploi des jeunes, l’aide aux salariés des entreprises en difficulté (formation et chômage partiel) ainsi qu’une aide sociale en direction des ménages les plus pauvres.
François Chérèque a demandé enfin au Premier ministre de maintenir les engagements du gouvernement sur la dépendance, secteur dans lequel les emplois à domicile sont fortement menacés.
Le secrétaire général de la CFDT a aussi fait part de propositions en matière d’économies et de recettes fiscales :
- Suppression des exonérations fiscales et sociales prévues par la loi Travail, emploi, pouvoir d’achat (heures supplémentaires, successions, bouclier fiscal) ;
- Suppression de la niche fiscale « Copé » pour les grandes entreprises ;
- Conditionnement des exonérations de TVA et de charges sociales à des exigences sur l’emploi et les salaires ;
- Proposition d’une tranche d’imposition supplémentaire pour les plus hauts revenus.
François Fillon s’est engagé à étudier ces propositions.
Le Premier ministre a convenu qu’il était important de protéger la croissance, les petites entreprises et l’emploi, et de soutenir les personnes les plus défavorisées.
D’ores et déjà des mesures sur les grandes entreprises, le secteur financier, les heures supplémentaires et la taxation des personnes les plus riches sont à l’étude.
Une délégation de la CFDT rencontre le Premier ministre jeudi à 15 h pour développer ces propositions.La CFDT s’opposera à toute remise en cause des aides sociales à des fins d’économies.
mardi 5 juillet 2011
Les personnes nées après le 1er janvier 1955 devront donc cotiser 41 ans et demi. Pour justifier cette décision, le gouvernement s’appuiera notamment sur un avis technique du Conseil d’orientation des retraites (COR) qui sera rendu officiellement le 6 juillet.
« Le cumul des deux mesures n'est pas acceptable, explique le secrétaire national Jean-Louis Malys. La réforme de 2010 pénalise les salariés qui ont commencé à travailler jeune. Si l’on augmente, en plus, la durée de cotisation nécessaire pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein, on durcit encore notre système. »
La CFDT exprimera donc un avis négatif sur ce projet, le 6 juillet prochain, lors de la prochaine réunion du COR.
jeudi 30 juin 2011
COMMUNIQUE DE PRESSE N° du 2011
Madame, Monsieur,
Veuillez trouver ci-joint le communiqué de presse n° 54 Déclaration de la Commission exécutive
Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier
enfin libres !
C’est avec un grand soulagement que la CFDT a appris cet après-midi la libération de Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière. Elle s’associe à la joie de leurs proches
qui n’ont jamais baissé les bras ni relâché la pression depuis un an et demi.
La CFDT a aussi une pensée pour les autres otages français retenus de par le monde et pour leur famille.
jeudi 23 juin 2011
jeudi 16 juin 2011
SERVICE DE PRESSE
Pour toute information complémentaire, contacter
Isabelle Perrin : 01.42.03.80.06 – Damien Cerqueus : 01.42.03.80.67 - Assistante Isabelle Poret : 01.42.03.80.12
INTERVENTION MEDIATIQUE
Jeudi 16 juin
Laurent Berger
est l’invité de l’émission
« Le téléphone sonne »
à partir de 19h20
sur France Inter
(87,8 MHz)